Les images qui nous viennent en tête lorsqu'on pense au Texas sont attribuables, en grande partie, à DALLAS, la fameuse série télévisée américaine, qui est diffusée depuis des décennies, un peu partout dans le monde. Les personnages, les décors et les paysages que nous voyons dans ces épisodes, qui ont fréquemment battu des records de cotes d'écoute, nous montrent de vastes ranchs, des gratte-ciel impressionnants, des bolides rutilants, des cow-boys, des magnats du pétrole, des gens très "chics" qui boivent des spiritueux et mangent de d'appétissants steaks dans des restaurants luxueux. On y fait étalage de l'opulence et de la démesure du "rêve américain".
DALLAS (photo ci-dessus, une partie de la distribution de la saison 2012) nous laisse aussi deviner qu'il fait chaud et humide dans cet état du sud du pays de l'Oncle Sam. Les premières scènes de chaque épisode sont suivies par le célèbre thème musical de la série accompagnant de brèves séquences filmées montrant, entre autres, les fabuleuses cheerleaders des Cowboys de Dallas (photo ci-dessous), le club de football professionnel de la ville de la famille Ewing. Mais une autre métropole du Texas, Houston, possède également une franchise de la National Football League (NFL). Si elles sont moins renommées que leurs consoeurs de Dallas, les meneuses de claque des Texans de Houston n'en sont pas moins "sexy" et "hot". Elles font grimper la température partout où elles passent, que ce soit sur les scènes sportives ou sociales où elles donnent des spectacles, ou sur les lieux des diverses activités communautaires ou humanitaires auxquelles elles participent.
Leur popularité est immense au Texas, surnommé «the lonely star state». Toutes les institutions et les multiples associations de toutes sortes, présentes à Houston et dans ses environs, se les arrachent. Dire qu'elles sont occupées est un euphémisme puisque les belles des Texans font pas moins de mille apparitions publiques par année. Elles sont tellement en demande et leur agenda est tellement rempli, qu'il arrive qu'elles manquent un rendez-vous, comme ce fut le cas récemment. En effet, le mois dernier, deux des pompons girls des Texans étaient attendues à une activité de l'école élémentaire "Blessing Elementary". Elles ont brillé par...leur absence, ce qui a choqué royalement les enfants et les dirigeants de cette institution scolaire. Les esprits se sont tellement échauffés que, pour protester contre cette rebuffade ou cet impair de l'organisation des Texans, on a publié sur les médias sociaux une photo du groupe d'enfants lésés arborant une banderole qui dénonçait le fait que les cheerleaders des Texans les avaient laissés tomber.
Le responsable de l'agenda des HTC (Houston Texans Cheerleaders), Kevin Cooper, a reconnu cette erreur due à une surcharge de l'horaire des meneuses de claques. Si aucune de ces dernières ne s'est présentée ce jour-là au "Blessing Elementary School" c'est qu'une partie du squad était à Porto Rico pour les séances de prises de photos -en bikini- pour le très couru calendrier annuel des Texans (photo ci-dessus, Andrea). Les autres, toutes des étudiantes ou des travailleuses à temps plein, n'étaient pas disponibles. Un manque de communication a manifestement causé cette bévue des Texans qui se sont excusés et qui ont fait amende honorable en reprogrammant un autre rendez-vous avec les enfants et les dirigeants de l'école. Ces derniers ont admis qu'ils s'étaient laissés emporter par leurs émotions en réagissant avec colère à l'absence des cheerleaders et qu'ils auraient pu mieux gérer la situation. Par les proportions extrêmes qu'elle a prises, cette affaire démontre l'importance de la place que les HTC occupent dans le coeur des membres, petits et grands, de la communauté de Houston.
Il faut dire que, si les enfants de la "Blessing Elementary School" étaient aussi fâchés de ne pas avoir droit à l'irremplaçable présence des pompons girls des Texans, c'est peut-être aussi parce qu'ils étaient jaloux des étudiants du "Crosby High School" qui, quelques jours auparavant, avaient pu accueillir toute une délégation des HTC, à l'occasion de leur bal des finissants. C'est une histoire incroyable qui avait amené ces charmantes demoiselles à participer à cette fête de graduation très spéciale. Tout a commencé quand, peu de temps avant cette cérémonie de graduation, Mike Ramirez, un des finissants de cette école secondaire, discutait avec un ami en attendant le prochain cours. Ayant récemment rompu avec sa petite amie de coeur, celui que les élèves de l'école surnommaient "Big Mike", en raison de sa forte corpulence, se demandait quelle fille pourrait bien accepter de l'accompagner au bal. Farceur de nature, ce gros joueur de ligne de l'équipe de football de son école, eut soudain la folle idée d'envoyer un message texte, par téléphone, à une des cheerleaders des Texans, Caitlyn Rasmussen (photo ci-dessous), pour la convier à sa fête de graduation.
Croyant impossible que la superbe meneuse de claque, qui en sera bientôt à sa deuxième année avec les Texans, réponde favorablement à son approche peu orthodoxe, le jeune obèse noir de dix-sept ans s'était lui-même lancé le défi que son message texte soit relayé 10 000 fois sur Twitter. Quel ne fut pas son choc lorsque Caitlyn lui texta la réponse suivante : «Oui, absolument !». Si Mike réussissait son pari de 10 000 re-tweets, elle serait à ses côtés au bal des finissants. Ramirez fut encore plus surpris et affolé quand il vit le nombre de re-tweets de son invitation grimper à 4 000, puis à 6 000, à 8 000 et, enfin, à 10 000, vingt-quatre heures à peine après le début de cette plaisanterie. J'imagine que Caitlyn, elle-même étudiante en communications à l'Université de Houston, ne s'attendait pas non plus à ce que Big Mike réussisse son pari insensé. Mais elle accepta de remplir sa promesse en se disant excitée d'avoir à choisir une robe de circonstance et de se faire belle comme si c'était sa propre graduation à nouveau.
Prévenue de cette histoire singulière, la Presse ne tarda pas à s'en emparer. Les demandes d'interviews se multiplièrent auprès de l'improbable nouveau "couple". Imaginez un peu le portrait : d'un côté, une reine de beauté au corps de déesse, cheerleader professionnelle enviée et admirée; de l'autre côté, un adolescent obèse, noir, simple étudiant au secondaire, footballeur amateur très médiocre, travaillant à temps partiel dans un restaurant McDonalds de sa localité. Il va sans dire que ses camarades du High School étaient tous contents -et surtout jaloux- de l'aventure vécue par Big Mike. Ce dernier demeurait incrédule devant les suites d'une idée farfelue qui lui était passée par la tête...
Lorsque le grand soir du bal arriva enfin (photo ci-dessus), Ramirez se rendit, avec sa mère et quelques amis, au Churrascos, un restaurant latino huppé, pour y attendre Caitlyn et souper avec elle. Comme dans un conte de fée moderne, la séduisante jeune femme fit son apparition dans une longue limousine. Sous le regard des journalistes, des photographes et des siens, Mike a ouvert la portière de la limousine pour aider sa "date" d'un soir à en sortir. Après s'être salués et donnés l'accolade, le couple se dirigea vers l'entrée du restaurant, suivis par six autres cheerleaders revêtues de leur uniforme des HTC. Aux membres des médias qui l'interrogeaient à savoir s'il y aurait un autre rendez-vous avec Caitlyn, Ramirez a rétorqué, en blaguant, qu'il espérait non seulement une nouvelle rencontre mais un mariage ! Invitée à se prononcer là-dessus, mademoiselle Rasmussen a plaidé le 5e amendement de la Constitution des USA. C'est-à-dire qu'elle a refusé de commenter pour ne pas s'incriminer !
À quelques pas du couple "vedette", la mère de Mike n'en croyait pas ses yeux de voir pareille scène. Dépassée par les événements, émue aux larmes, elle remerciait Caitlyn et admirait son fils, qui, il ne faut pas l'oublier, célébrait sa graduation ! Aux scribes, elle affirmait que : oui elle était étonnée du tour de force réalisé par son rejeton. Mais, d'un autre côté, elle le reconnaissait bien dans son audace, son esprit enjoué, son caractère joyeux et sa détermination à atteindre les buts qu'il se fixait. Pour sa part, le jeune homme tirait de toute cette histoire de rêve que : «certaines choses peuvent paraître impossibles mais ce n'est pas le cas». Et le nouveau gradué, de conclure : «vous devez oser prendre des risques et quelques-uns seront payants». Et comment, Big Mike ! Et comment !
Si le jeune Ramirez a pu obtenir les faveurs des meneuses de claque des Texans, on ne peut pas en dire autant pour le populaire "rapper" canadien DRAKE. Dernièrement, en entrevue dans un poste de radio local, les très sollicitées "pompons girls" du club de foot de Houston ont toutes dit un «non» assez catégorique à la question de l'animateur qui leur demandait si elles accepteraient de "sortir" avec Drake. Le chanteur aux cinq millions d'albums vendus à travers le monde, a brièvement fréquenté la super star Rihanna (photo ci-dessus), en 2009, après que celle-ci ait rompu une première fois avec son conjoint agresseur Chris Brown. Drake, 28 ans, natif de Toronto, passe beaucoup de temps au Texas, mais les chances sont nulles pour qu'il le fasse en compagnie de l'une ou l'autre des membres du squad des HTC. Désolé, "man", elles préfèrent Big Mike !
Elles aiment beaucoup plus aussi l'ex-président américain George H.W. Bush, 91 ans ! À la fin de 2012, quand celui qui fut le 41e président des États-Unis d'Amérique (1989-1993), fut admis aux soins intensifs de l'hôpital universitaire de Houston, les cheerleaders des Texans lui rendirent visite pour lui offrir réconfort et chaleur humaine. La puissante et très influente famille Bush est indissociable du Texas. Elle a donné deux présidents à la nation (Bush père, et son fils George W. Bush, surnommé simplement "W") et pourrait même en fournir un troisième (ce serait un précédent dans l'Histoire) si Jeb Bush, le frère de l'autre, se présente à l'investiture du Parti Républicain, la remporte, et gagne ensuite l'élection présidentielle de 2016. Quand, vers la mi-janvier 2013, Bush "père" a obtenu son congé de l'hôpital après s'être remis d'une vilaine bronchite, il s'est souvenu de la gentille attention des meneuses de claque des Texans. Au mois d'avril suivant, reconnaissant envers ses bienfaitrices, c'est avec une grande joie qu'il offrit une splendide rose à chacune des 35 cheerleaders dont on annonça la sélection lors d'une cérémonie touchante au Methodist Training Center (photo ci-dessus).
Encore plus émues que le vieil homme, ces jeunes femmes fort méritantes, choisies parmi plus de mille candidates plus habiles et jolies les unes que les autres, se disaient privilégiées de côtoyer celui qu'elles considèrent comme un véritable héros qui a non seulement conduit les destinées de la première puissance internationale, mais qui a combattu pour elle lors de la Deuxième Guerre Mondiale.
Même si le squad des HTC n'existe que depuis 2002, année de la renaissance du football de la NFL à Houston (la ville avait déjà détenu une franchise auparavant, -les Oilers-), quelques ex-cheerleaders des Texans sont devenues des célébrités. Une de celles qui a justement eu la chance de rencontrer le patriarche de la famille Bush, il y a deux ans, est une ex-Miss Wisconsin USA (2010). Il s'agit de Courtney Laine-Mazza, qui est maintenant l'épouse et la mère des deux enfants du populaire acteur et animateur Mario Lopez (photo ci-dessus).
L'autre ex-"pompons girl" des Texans, qui a également acquis une certaine renommée, est la très "hot" Carrie Milbank (photo ci-dessus) qui est devenue l'hôtesse du "Hockey Show" sur le réseau de télévision de la Ligue Nationale de Hockey (NHL).
Dans le diaporama ci-dessous, vous verrez plusieurs autres filles sexy qui ont brillé, ou qui se démarquent encore, chez les HTC. C'est sur le super "hit" "CHEERLEADERS", de OMI, que vous vous délecterez des clichés de ces créatures de rêve. À souligner, le travail remarquable de Felix Jaehn, qui a superbement remixé ce succès musical, pour notre plus grand plaisir !
Puis, admirez les prouesses des formidables cheerleaders des Texans lors de leur séjour à Porto Rico pour les séances photos du fantastique calendrier de l'équipe.
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