vendredi 11 octobre 2024



ANICKA  DELGADO  :  TROP  SEXY  POUR  LA  NATATION, MAIS  BIEN  ASSEZ  POUR  ÊTRE  TOP  MODÈLE...

La nageuse Anicka Delgado s'est fait remarquer aux récents Jeux Olympiques de Paris.  Pas tant pour ses exploits dans la piscine, que par sa silhouette sculpturale, qui lui aurait mérité un podium, s'il s'était agi d'un concours de beauté.

À ses deuxième olympiades, après ceux de Tokyo, en 2021, la jeune athlète de 22 ans a pris le 26e rang au 50 mètres nage libre.  Son parcours olympique s'est arrêté sans qu'elle atteigne les demi-finales, mais Anicka était très contente de sa performance (25,43 secondes) et de sa participation aux Jeux de Paris : 

«J'ai nagé mon deuxième meilleur temps de ma vie !!!  Et je ne pourrais pas être plus fière de moi d'être arrivée jusqu'ici.» (...) « plutôt que de me sentir nerveuse et effrayée, j'ai ressenti tellement de paix.  J'ai apprécié chaque seconde passée ici aux Jeux et dans ce voyage.  Je me sens tellement bénie d'être arrivée jusqu'ici.  Ce sont des moments que je n'oublierai jamais.» a-t-elle déclaré sur son compte Instagram, après son expérience au mois d'août, dans la ville lumière.


Ont suivi des vacances en Grèce, au cours desquelles la jolie olympienne a publié des photos sur Instagram, où on peut l'admirer en bikini, ou en splendide robe de soirée.  Cette publication est vite devenue virale sur les réseaux sociaux.  Faute d'avoir remporté de médaille olympique, Anicka Delgado a donc gagné beaucoup d'admirateurs et de supporteurs.  Plus de 50 000 abonnés la suivent, maintenant, sur Instagram.

Pour ce qui est de ses prouesses comme nageuse, Delgado a de qui tenir.  En effet, son père, Felipe Delgado, a été lui-même un nageur olympique.  Il a participé aux Jeux d'Atlanta en 1996, et à ceux de Sydney en 2000.  

Sa fille, est née juste après, soit le 13 juin 2002, au Minnesota.  Elle possède la double nationalité : américaine et équatorienne.  Mais des les compétions internationales, elle nage pour l'Équateur. À Paris, c'est papa Felipe qui entraînait Anicka.



Compte tenu des antécédents familiaux, il n'est pas étonnant qu'Anicka ait été initiée à la natation dès son plus jeune âge.  À quatre ans, elle savait déjà nager.  À sept ans, elle était dans une équipe de natation.  Mais, au début, elle n'aimait pas ça !

«C'est drôle, au début, je détestais ça.  Je me souviens avoir menti en disant que j'avais mal au ventre lors de mon tout premier entraînement de natation juste pour pouvoir sortir plus tôt.  Finalement, l'entraînement de natation est devenu une partie de ma routine et j'ai appris à aimer ce sport grâce aux amis que je m'étais faits en cours de route» a-t-elle confié lors d'une entrevue.

À 13 ans, elle a commencé à faire des compétitions sous le drapeau de L'Équateur.  Les succès, les records, et les médailles d'or se sont accumulés, surtout sur les scènes locales ou sud-américaines.  Jusqu'aux Jeux Olympiques de Tokyo, où, à 19 ans, elle est devenue la plus jeune nageuse à entrer dans le top 25 du 50 mètres nage libre aux J.O..


Anicka n'a pas encore décidé si elle tentera de participer aux prochaines Olympiades qui auront lieu à Los Angeles, en 2028.  Ça se trouve pratiquement chez elle, puisqu'elle étudie et s'entraîne à l'Université de la Californie du Sud à L.A..  Ses espoirs de médaille seraient toujours possibles.

Son inspiration lui vient certes de la fierté de représenter l'Équateur dans les compétitions mondiales, mais ce sont surtout les encouragements de ses parents et amis qui la poussent à s'améliorer constamment.  Ils lui donnent l'énergie nécessaire pour se surpasser, que ce soit dans la piscine ou en dehors de celle-ci, dans la vie de tous les jours.  Anicka souhaite leur rendre la pareille pour le sentiment d'accomplissement qu'ils lui apportent.   

Bien qu'elle nage aussi le 100 mètres nage libre, elle préfère le 50 mètres.  Elle aime la vitesse, c'est une sprinteuse pure, qui travaille davantage sur la puissance et l'aérobic.



«Mon corps est fait pour le 50 mètres.  Cela me motive.  Cela allume un feu qui me donne envie de nager un 50 m très rapide» (...) «J'ai une vitesse de course rapide.  J'ai toujours pensé que si je n'étais pas nageuse, je serais une sprinteuse sur piste», a-t-elle déjà déclaré.

Le fait que ce soit son père qui l'entraîne est un atout de taille pour elle.  Il l'a connaît mieux que personne.  Il sait ce qu'elle a besoin, et à titre d'ancien nageur olympien, il sait ce que sa fille doit faire sur les blocs de départ des compétitions.  La natation a fait grandir la relation père fille entre eux.

Anicka Delgado doit avoir du plaisir dans la vie pour pouvoir arriver à bien performer dans le sport.  C'est le conseil qu'elle donne aux jeunes qui désirent suivre ses traces.
  


L'entraînement peut être très dur.  Alors, selon elle, il ne faut pas en faire une obsession, ou en faire le seul point de mire.  Il faut diversifier ses activités, faire ce qu'on aime, pour se détendre, et s'amuser, de temps à autre.  Soigner le mental autant que le corps.

En ce sens, Anicka est un modèle.  Elle cherche constamment l'équilibre entre le sport, les études et des activités créatives comme le mannequinat, qu'elle a commencé il y a quelques années, d'abord pour se faire un peu d'argent de poche, ensuite par goût.

Et les photos qu'elle fait paraître sur ses réseaux sociaux ne font qu'augmenter la demande pour son savoir faire dans ce domaine.  De grandes marques sollicitent ses services et sa beauté naturelle.  Notamment dans le domaine de la mode, des vêtements et...des bikinis !


Une carrière parallèle en tant que mannequin à temps partiel est déjà en marche, et pourrait probablement devenir à plein temps, dans le futur, une fois que sa carrière de nageuse sera derrière elle.

Anicka s'intéresse surtout au côté artistique du mannequinat : «J'étudie pour travailler dans une agence de création, ce que je n'aurais pas compris sans le mannequinat.» (...) «Vous voyez ces photos et c'est une forme d'art.  Pouvoir participer à l'art, à la vision de quelqu'un d'autre, c'est vraiment inspirant.  J'adore ce côté de l'industrie», a-t-elle conclu.  

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